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x : mariage (x : 1er mariage, xx : 2ème mariage... , + : décès, ca : environ, ? : date évaluée
exemple : (oca1584) signifie "
naissance en 1584 environ"

Françoise
AMBOISE (d')
09 05 1427
1427
AMBOISE (d') :: Louis
RIEUX (de) :: Marie
SAGE (Le) :: Pierre.2 (x?)
 - sans postérité

Elle est née le 29 mai 1427 au château de Thouars où elle fut baptisée le 6 octobre 1427 , mariage en 1645 à Vannes Novembre 1429 : son père Louis d’Amboise est emprisonné par Georges de La Trémoille, favori du dauphin, le futur Charles VII. Il exige la main de Françoise. Refusant, il est condamné à mort mais Charles VII commue la peine en confisquant tous ses biens. La mère, Marie de Rieux envoie Françoise au château de Parthenay appartenant au comte de Richemont ; puis ensuite à Ancenis chez son grand-père maternel puis à Nantes, au Gâvre et à Rochefort-en-Terre, propriétés des de Rieux ; enfin à Vannes, au château de l’Hermine, la demeure du duc Jean V. 21 juillet 1431 : Alors qu’elle n’a que quatre ans, pour la cérémonie des fianciailles de Françoise, elle passa sans doute à La Gacilly avec sa mère pour se rendre à Rochefort puis à Vannes. Marie de Rieux et le duc Jean V signe un accord en présence du comte de Richemont pour que Françoise soit promise en mariage au fils cadet du duc, Pierre, qui avait deux frères : François l’aîné et Gilles. La mère promet à la future mariée 4.000 livres de rente et les seigneuries de Benon en Poitou, l’île de Ré et Montrichard. Ces terres étaient occupées par Georges de La Trémoille mais le comte de Richemont promet de les reprendre. Françoise devient dame comtesse de Benon. Toussaint 1432 : à cinq ans, elle déclare à la duchesse : « « Monseigneur et vous et toute votre cour avez aujourd’hui reçu le corps de Notre-Seigneur et moi seule, faute d’âge, je suis privée de ce bien ». Une exception allait lui permettre de se confesser et de faire sa première communion. Juin 1433 : libération de son père, Louis d’Amboise et de tous ses biens par le comte de Richemont. Octobre 1433 : mort de sa mère adoptive, la duchesse Jeanne de France. Printemps 1434 : le duc Jean V décide d’aller habiter Nantes dans la forteresse de la Tour Neuve, le futur château des Ducs ; il emmène Françoise. L’évêque de Nantes est alors Jean de Malestroit qui habite le manoir de la Touche, le futur musée Dobrée. Janvier 1435 : fiançailles de Françoise. Octobre 1440 : procès de Gilles de Rais à Nantes auquel assiste Françoise. 3 juin 1441 : le duc Jean V offre à son fils Pierre 50.000 sous d’or. 29 août 1442 : mort du duc Jean V, son fils François lui succède. Décembre 1442 : couronnement à Rennes, comme duc de Bretagne, de François I° 2 décembre 1442 : mariage de Pierre (25ans) et de Françoise (15ans) dans une chapelle d’un manoir breton près de Ploërmel ; Pierre étant comte de Guingamp, ils s’installent dans le château de cette ville, capitale du comté de Penthièvre. Pendant plusieurs années, il brutalisera Françoise qui ne dira rien. Dans le contrat de mariage de Françoise et de Pierre, il est indiqué que Marie de Rieux « advertye et conseiller par pierre de Rochefort, mareschal de France et Michel de Rieux, oncles d’icelle dame, les sires de Malestroit, Jehan de Montauban, sieur de Kérenrais, le sire de Rostrenen et autres, ses cousins et parenz ». 31 juillet 1444 : Gilles, le frère de Pierre, entraîné par les Anglais, fut arrêté par le roi de France et emprisonné à Dinan parce que ses frères n’avaient pas voulu le faire même sur les conseils d’Arthur de Montauban. Pour obtenir sa liberté, les Anglais pillent la ville et le château de Fougères et Pierre est envoyé contre eux. A ce moment-là, Gilles est condamné à mourir de faim, puis par le poison. François I° convoque les Etats de Bretagne à Redon pour sceller le sort de son frère Gilles qu’il a fait enfermer, surveillé par Arthur de Montauban, tous les deux épris de Françoise de Dinan. Malgré les réclamations de Françoise d’Amboise, Gilles fut transféré de la forteresse de Moncontour au château de la Hardouinaye où il fut étranglé ou étouffé par Olivier de Niel, un complice d’Arthur de Montauban. Son corps fut réclamé par l’abbé de Boquen où il fut enterré (24 ou 25 avril 1450). Début 1449 : Yves de Pontsal, évêque de Vannes reçoit une bulle papale érigeant Redon en évêché à la demande de François I°, duc de Bretagne ; ce nouvel évêché prenait au diocèse de Vannes : Redon, Bains-sur-Oust, Brain et Langon. Il englobait également des paroisses des diocèses de Nantes, Rennes et Saint-Malo. Sur les remontrances des évêques en place, le pape Nicolas V suspendit sa commission par un bref du 20 décembre 1449. Juin 1449 : Françoise d’Amboise fait une entrée solennelle au château de La Gacilly où elle est accueillie par le chapelain, messire Jean Houx. 17 juillet 1450 : mort de François I°, le duc de Bretagne, à 40 ans, il est enterré dans l’église St-Sauveur de Redon. Le prince Pierre et Françoise deviennent duc et duchesse de Bretagne à 33 et 23 ans. Par l’avènement de son époux au trône ducal de Bretagne sous le nom de Pierre II Le Simple, Françoise d’Amboise devient duchesse de Bretagne. Pour marquer cet événement, une grande fête a lieu au château de La Gacilly qui arbore la bannière ducale. D’après C. Floquet, le nouveau duc et son épouse séjournent fréquemment à La Gacilly. Messire Jean Houx, sur les ordres de la duchesse, fait construire près du pont, sur la rive droite de l’Aff et près de la fontaine Sainte-Julitte, des chaumières pour les pauvres de la seigneurie. De même, toujours sur les ordres de Françoise d’Amboise, la chapelle du château, devenue la chapelle tréviale « à peine âgée d’un siècle et demi, chancelait sous la main du temps et réclamait un accroissement pour sa nouvelle population chrétienne ; elle fut donc agrandie et consolidée ». Fin septembre 1450 : couronnement du nouveau duc et de la nouvelle duchesse. Après un séjour d’une dizaine de jours à Rennes, ils descendent sur Nantes à petites étapes avec des arrêts dans les châteaux des grands vassaux (La Gacilly ?). Pour marquer cet événement, une grande fête a lieu au château de La Gacilly qui arbore la bannière ducale. D’après C. Floquet, le nouveau duc et son épouse séjourneront fréquemment à La Gacilly. Messire Jean Houx, sur les ordres de la duchesse, fait construire près du pont, sur la rive droite de l’Aff et près de la fontaine Sainte-Julitte, des chaumières pour les pauvres de la seigneurie. De même, toujours sur les ordres de Françoise d’Amboise, la chapelle du château, devenue la chapelle tréviale « à peine âgée d’un siècle et demi, chancelait sous la main du temps et réclamait un accroissement pour sa nouvelle population chrétienne ; elle fut donc agrandie et consolidée ». Beaucoup de témoignages concordent pour dire que Françoise d’Amboise avait un très grand goût pour les lévriers ; elle payait même Olivier Kerbonic pour en prendre soin. Les comptes de dépenses de Françoise d’Amboise dénotent une très grande bonté et une très grande générosité. Le temps qu’elle fut dans « le monde et sur le trône », elle possédait un « queurre », en fait un carrosse qui servit plus à ses amies ou dames qu’à elle-même ; elle l’envoyait souvent en Bretagne pour les y chercher lorsqu’elle était à Nantes. La duchesse, en plus de ce que lui donnait le duc pour ses dépenses, disposait d’une douzaine de domaines seigneuriaux. 1452 : une bulle du pape Nicolas V autorise l’ouverture des couvents de femmes rattachés au Carmel. 1455 : une bulle du pape Calixte II autorise la fondation par Françoise d’une communauté de l’ordre de Sainte Claire, les Clarisses, dans l’hôtel familial à Nantes où elle pensait se retirer si elle devait survivre à son mari. 23 mars 1456 : elle acquiert de François de Rieux, sire de Rieux et de Rochefort, la maison de Rochefort située à Nantes pour y établir un couvent d’abord dirigé par des Pères Fransiscains et où les Clarisses arrivèrent le 30 août 1457. 4 juin 1456 Pierre de Bretagne transfère les Etats de Vannes à Rennes et, en compagnie de son épouse, assiste en l’église Saint-Pierre de Vannes, à la canonisation de Frère Vincent Ferrier le 4 juin 1456 avec trois membres de la confrérie de Saint-Nicolas de La Gacilly. La duchesse reçut alors de l’évêque la ceinture du saint, son bonnet doctoral et l’un de ses doigts. Il fallut qu’on lui donnât une autorisation expresse d’accepter ces dépouilles vénérées qui effrayaient sa profonde piété. Elle s’empressa de les déposer dans des lieux saints, c’est la raison pour laquelle il est permis de penser que Françoise d’Amboise fut à l’origine de la chapelle Saint-Vincent à La Gacilly. Il a même été écrit qu’elle en posa la première pierre en 1458. Françoise d’Amboise qui « avait en très grande affection la résidence du château de La Gacilly » continue à y effectuer des visites et même à y résider quelques jours. Fin 1456 : Françoise recueille sa mère qui devait mourir au début de 1463, le vicomte de Thouars restant à la cour de France près de Charles VII. 22 ou 27 septembre 1456 : le duc Pierre II meurt au château de Nantes, à l’âge de 40 ans, d’une sorte d’érysipèle charbonneux nommé alors la maladie des bras parce qu’elle attaquait d’abord cette partie du corps et que, progressivement, elle étouffait le malade. Son corps est déposé dans le chœur de la cathédrale Notre-Dame. Son successeur fut son neveu, le connétable de Richemont, Arthur III qui devient alors duc de Bretagne car Pierre et Françoise n’avait pas eu d’enfant. Mais très hautain et très injuste envers Françoise, elle s’en va alors rejoindre les Clarisses. Il lui enleva tout sauf les biens de sa propre famille. Il semble bien que Pierre II avait eu trois filles bâtardes avant son mariage que, plus tard, la duchesse légitima. 3 août 1457 : les Clarisses prennent possession du couvent, Guillaume de Malestroit étant alors évêque de Nantes. 26 décembre 1458 : mort du connétable de Richemont ; François, fils de Richard, devient nouveau duc. Il rendit à Françoise tous ses droits et tous ses biens ; elle se retrouva dame de Guingamp et d’une bonne douzaine de seigneuries importantes. Début 1459 : couronnement de François II à Rennes. 15 février 1460 : bulle papale du pape Pie II autorisant l’ouverture du couvent des carmélites du Bondon près de Vannes qui sera transféré plus tard aux Couëts en Bouguenais. Après une dure maladie, Françoise se prépare à rentrer dans son couvent mais une épidémie à Vannes l’en dissuade ; elle se retire à son château du Gavre puis à celui de Rochefort-en-Terre. Fin 1461 : son père, Louis d’Amboise décide de la marier à Philippe de Savoie, frère de la princesse Charlotte de Savoie, nouvelle reine de France. Elle refuse publiquement en l’église Notre-Dame de la Tronchaye de Rochefort-en-Terre en présence du chapelain Jean Houx. Le roi Louis XI essaie d’intimtider Françoise en lui envoyant l’un de ses officiers bretons, le propre frère de sa mère Marie de Rieux. Elle se rend à Nantes en passant par La Gacilly en 1462. Arrivant de nuit sur les bords de la Loire, les portes du château ne lui sont pas ouvertes. Le lendemain, à la sortie de l’église Notre-Dame, son oncle, le sire de Montauban, tente de l’enlever. Le roi lui rend visite mais ne la décide pas à se remarier. Prisonnière au faubourg de la Fosse à Nantes, les habitants la délivrent et elle se réfugie chez « Guyolle, en la Grande-Rue, au carrefour du Pilori ». Elle regagne son château du Gâvre où elle se sentait à l’abri et protéger par le seigneur Jean II, vicomte de Rohan alors au château de Blain et beau-frère du duc régnant et marié à Marguerite de Bretagne. 28 janvier 1463 : décès de Marie de Rieux, mère de Françoise. Elle devient donc héritière de la seigneurie de La Gacilly. Mais Louis d’Amboise, vicomte de Thouars, le père de Françoise, se remarie aussitôt mais décède lui aussi à la fin de l’année. Auparavant il avait déshérité sa fille Françoise mais elle intenta un procès au roi devant le Parlement de Paris. Au décès du roi, ses biens lui furent redonnés en 1483. 29 juin 1463 : baptême en la cathédrale de Nantes de l’héritier du trône ducal, François comte de Montfort, mais il meurt à 2 mois. Françoise fut l’une des marraines avec Catherine de Luxembourg, veuve d’Arthur III 21 décembre 1463 : ouverture du couvent du Bondon nommé couvent des Trois Maries. 1465 : avant d’entrer en religion, Françoise tient à régler la distribution de ses biens en sachant que doit retomber, dans le domaine ducal, tout ce qui en est sorti pour constituer le domaine de l’ex-duchesse. Voici le minu que Françoise d’Amboise présenta en 1465 après le décès de sa mère : « Est le minu que rend haulte et puissante princesse, la duchesse Françoise à Pierre Avaleuc, recepveur de Ploërmel, des rentes et revenues de la terre et seigneurie de La Gacilly, tenue dudit lieu de Ploërmel qui sont cheues en rachapt par le debceix de dame Marie de Rieux, en son vivant vicomtesse de Thouars, dame de Foulgéré et dudit lieu de la Gazcilly, qui décebda le 28° jour de janvier l’an 1463, dont la dite duchesse est principale héritière, quand affin y celui recepveur en faire les levées, pour l’an dudit rachat anxin qu’il appartient. O protestation que a fait laditte duchesse de augmenter ou diminuer en ce présent minu, ainsain que de resson apartiendra ès fais, et quand il sera avissé par son conseil, et autrement que faire le doye, la déclaration du quel minu en suit…à la requeste par la duchesse faicte à nous notaires de la cour de Vennes de signer et passer le minu cy devant, le 27 janvier 1465, au Bondon, près Vennes. Signé : Gicquel et Faval ». Ce minu indique, parmi d’autres biens, le château de La Gacilly avec ses : « murs, murailles, clostures, douves, basse-court, avecques une maison scise en la basse-court du dit château, o leurs rues et appartenances, estant à présent inhabité, devoirs de guet, gardes et autres prérogatives y appartenir effois à présent et quant qu’il sera en réparation, contenant environ quatre journaux de terre rejoignant d’une part au grand chemin allant du dit lieu de La Gacilly à Carentoir et d’autre à Jehan Rebuffé, et d’un côté à terre à Jean Guéhenneuc et d’autre côté à terre à Guillaume Bruc. » La duchesse Françoise d’Amboise ne garde que peu de temps sa terre de La Gacilly puisqu’elle la vend en 1466 à Marie de Montauban, sa cousine, veuve de Louis de Rohan. 25 mars 1468 : elle fait sa prise d’habit au carmel du Bondon en présence de l’évêque de Vannes, Yves de Pontsal, qui l’avait préparée, 35 ans plus tôt, à sa première communion. 25 mars 1469 : sœur Françoise fait sa profession de foi religieuse. Septembre 1469 : Marguerite de Bretagne, femme de François II décède. 27 juin 1471 : fiançailles de François II avec Marguerite de Foix puis mariage. 1472 : Elle fonde le monastère des Trois-Maries au Bondon près de Vannes qu’elle inaugure en 1472 et où elle rentrera par la suite. 1475 : Françoise devient prieure du couvent du Bondon. C’est alors que le duc demande à Françoise de venir à Nantes. Début 1476 : avec l’accord du pape Sixte IV, elle est transférée au monastère de Notre-Dame des Couëts à Bouguenais près de Nantes où elle prend le nom de Sœur Françoise. Elle s’installe dans ce couvent avec les anciennes bénédictines et ses carmélites pour y remettre de l’ordre dans la gestion des biens et remettre en état les lieux. Une déclaration du Dial, le journal du couvent des Couëts « commencza cette année 1476, dès la venue de très-révérente et religieuse dame seur Françoise d’Amboyse, naguère duchesse de Bretagne, vicomtesse de Thouars, comtesse de Bénon, princesse de Talmont, dame d’Amboyse, de Maran, de la Gacille, Foulgeré…etc comme vraye héritière de feu monseigneur son père, monseigneur Loys d’Amboyse, viconte de Thouars et de feue madame sa mère, damme de la Gacille et de Foulgéré et maintenant ancelle de Jhesu Crit. ». Il s’agit du Grand-Fougeray quand il est écrit Foulgéré. 28 octobre 1485 : elle décède vers l’heure de none c’est à dire vers trois heures de l’après-midi le samedi avant la Toussaint ; elle rendit son âme à Dieu à l’heure où Jésus Christ mourut sur la croix. Elle sera inhumée le vendredi 4 novembre. Le châtelain du château, Jean Houx, la suit dans la tombe à la fin de la même année. 16 juillet 1863 : béatification de la bienheureuse ; elle ne fut jamais canonisée et est donc toujours restée bienheureuse. 27 septembre 1864 : le Saint Père Pie IX fixe la fête de la bienheureuse au 5 novembre. En qualité de Dame de La Gacilly, elle avait certains droits sur les seigneuries de la Jouardais, de la Grignonais, de la Villecaro et sur Villechauve. De plus, deux « héritages » en relevaient directement. C’étaient des terres que les Montauban avaient cédées- on disait afféagées- à des cultivateurs sous condition que leurs héritiers ou ayant-droit demeureraient soumis à la dîme. L’un de ces héritages était situé à la Roirie (la Loirie). En 1401, Alain Le Rouer le partageait avec Éon Séro d’où le nom de ce village qui devait s’écrire la Rouérie, la maison des Rouer. Dans l’autre, il doit s’agir d’un domaine voisin de la Corbais dont le champ dit « de Montauban » serait un vestige. Il avait pour possesseur en 1401 Perrot Le Moine, Amice Jollivet, Dano Métayer et « Jouhanne la dégrepie de Johan de la Harlaye » c’est à dire Jeanne la veuve de Jean de La Hallais. En 1465, lorsque Françoise d’Amboise prit possession de ces deux terres, les partages en avaient multiplié les héritiers. On en compte une bonne douzaine…..Elle levait la dîme à la 11° gerbe par le soin du curé de l’église des Fougerêts à qui était laissé le tiers du revenu. En vérité, cette dame de La Gacilly ne trouvait pas dans des droits aussi réduits une base suffisante pour prendre également le tître de dame des Fougerêts d’autant qu’elle n’en jouit que pendant un an à peine. (ROYE 1 p.60) BP du 11-1929 p76 : Ste Françoise d’Amboise, duchesse de Bretagne et dame de La Gacilly, qu’elle avait reçu en héritage de sa mère Marie de Rieux. Que de là-haut elle étende sa bienveillante protection comme autrefois sur ses Gaciliens, afin qu’eux aussi puissent parvenir au bnheur du ciel. Pour les y aider, qu’ils se rappellent et mettent en pratique la parole qu’elle ne cessait de répéter : « Faites, sur toutes choses, que Dieu soit le mieux aymé !

Histoire de La Gacilly, page 182