Seigneurie ou maison noble
Motte (La)
LA GACILLY
56200
Morbihan
56

Le Manoir de la Motte En 1440, Éon BOUCEL, sieur des Basses-Bouëxières en Carentoir, épousa Aliette Mallessette de la Ville-Orion ; ils eurent un fils, Raoul BOUCEL, qui fit aveu de sa terre à Pierre de Rohan, seigneur de La Gacilly le 22 février 1493. Sa fille épousa Guillaume de COUËDOR, seigneur du Bois-Glé. Ils eurent deux enfants : Arthuse et François de COUËDOR. Un document rapporte que ce François de COUËDOR devint prêtre habitué à La Gacilly en 1526. En général, le prêtre habitué était un enfant du pays qui vivait dans sa famille et faisait le catéchisme à ses voisins. Il épousa sa cousine, Perronnelle de Couëdor, fille de François de Couëdor, sieur du Bois-Glé et devint alors sieur de la Motte en La Gacilly, preuve que le manoir existait déjà et qu’il appartenait aux de COUËDOR. François et Perronnelle eurent un fils, René de COUËDOR, qui épousa Jeanne Le Jeune de la Villouët. Jean de COUËDOR, leur fils, sieur de la Basse-Bouëxière, deviendra seigneur de La Gacilly en 1581. Il avait beaucoup de terres à La Gacilly avec la châtellenie et les maisons nobles de la Villouët et de la Motte. Marié avec Renée du Quengo, ils eurent une fille, Marie, qui épousa Pierre du HOUX ; de ce mariage naîtra Jean du HOUX, futur seigneur des Basses-Bouëxières. Ayant pris parti pour le duc de Mercoeur pendant la guerre de la Ligue, tous les biens de Jean de COUËDOR furent saisis et vendus en 1595. François de TALHOUËT, seigneur de la Ville-Quéno, acheta la seigneurie de La Gacilly et Jean du Houx acheta les Basses-Bouëxières. Ce dernier épousa Jeanne de Forges de la Bouère. Ils eurent un fils, un autre Jean du HOUX, époux de Anne Huchet de la Bédoyère dont le père avait acheté la seigneurie de La Gacilly à Gilles de Talhouët ; il en fit don à sa fille si bien que Jean du HOUX se retrouva seigneur de La Gacilly. Jusqu’en 1645, le manoir de la Motte fut rattaché au château du Houx de La Gacilly. o Avant 1677 : la maison de la Motte appartenait à Guillaume BOUCHER dont les enfants BOUCHER/CIVIER héritèrent à son décès. o 1677 : la maison de la Motte est mise en vente, mais un défaut de procédure retarda cette vente. o 7 janvier 1683 : achat de la maison de la Motte par René TUAL et sa femme Suzanne BLONDEL, petite-fille de Guillaume BOUCHER o 12 janvier 1760 : location de la maison de la Motte au sieur BELLEVILLE/ LEMARCHAND par Anne LE PRIOLIC o 20 avril 1760 : vente de la Maison de la Motte par Louise Renée TUAL, fille de René TUAL et veuve de L’AFFITON à Anne LE PRIOLIC, veuve Blanchart o 14 juillet 1764 : Gilette Magdeleine BLANCHART, fille de Anne LE PRIOLIC et épouse de Gilles LE GALL achète la maison de la Motte. o 1797 : leur fille, Marie Anne LE GALL, veuve de Noël Le Quéré de Plonéour, est propriétaire de la maison de la Motte. Elle avait épousé le 7 novembre 1794 Louis VIVIERS. (Voir article ci-après) - 18 décembre 1828 : achat de la maison de la Motte par la commune, Pascal Orinel étant maire, pour servir de presbytère au desservant. (Étude réalisée par Christian Le Quellec) - 1928 : vente du presbytère à l’Association Diocésaine de Vannes - 1957 : le maire Auguste Jouvance vend sa maison de la rue Monteil à l’abbé Théaud alors recteur de La Gacilly. La maison de la Motte/presbytère devient la blanchisserie de la maison de retraire Saint-Jean installée dans l’ancienne école publique des filles. - Le dimanche 28 avril 1957, la chose était annoncée publiquement et officiellement du haut de la chaire : le presbytère venait d’être vendu à la commune et une autre maison achetée pour être désormais le logement des prêtres de la paroisse. « Je crois bon de reproduire à l’intention des lecteurs du bulletin, l’essentiel des explications dont j’accompagnais l’annonce de cette importante nouvelle : Pourquoi changer de presbytère ? Une telle affaire n’a pu se conclure à la légère ni sans de grosses hésitations. L’actuel presbytère est une vieille maison mal construite, ainsi le qualifiait en 1878, dans un état des lieux conservé aux archives paroissiales, M. Grasland alors recteur de la paroisse. Lorsqu’il avait été acquis en 1828, il avait du moins l’avantage de la proximité de l’église. Maintenant, le seul intérêt qui lui reste- très appréciable en réalité- est sa discrétion, sa tranquillité et l’agrément d’un site exceptionnel. Mais rien de cela ne saurait contrebalancer les désavantages d’une maison qui, à brève échéance, tombera en ruines et dont l’insalubrité a peut-être contribué au délabrement de la santé de certains jeunes vicaires. Aussi l’occasion se présentant d’une maison plus jeune, solide, toute proche de l’église et simultanément s’offrant la possibilité de vendre ce que nous possédions, fallait-il n’en point faire cas ? L’évêché au courant et consulté, non seulement donnait son accord éventuel, mais encourageait très vivement à conclure. Monseigneur personnellement m’exhortait dans ce sens. Perplexités et Dénouement. Les hésitations étaient surtout motivées par la raison pécuniaire, la paroisse n’étant pas riche et à elle seule incombant la charge de financer l’affaire. Une circonstance où j’ai cru reconnaître l’indication de la Providence, m’a déterminé à conclure. Une personne, étrangère à la paroisse, m’offrait un appoint substantiel. Pouvais-je douter que les paroissiens ne comprennent à leur tour une œuvre qui les touchait de si près, aujourd’hui et dans l’avenir ? Et j’ai conclu avec la conscience de n’avoir servi que la paroisse et l’espoir d’être aidé de tous dans la mesure de leurs moyens. Un dernier mot : la satisfaction que la maison qui abrita les prêtres soit destinée à une œuvre de grande humanité très attendu des Gaciliens, l’hospice des vieillards. (Bulletin Paroissial du 6-1957) Passe encore de bâtir, mais déménager. C’est ce que vient de faire le presbytère qui a quitté, avec un certain regret, le Bout-du-Pont pour se rapprocher de l’église et de l’école. Mais les paroissiens ne semblent pas encore apprivoisés à ce changement. (Bulletin Paroissial du 5-1958) ? 1990 : l’ancien presbytère devient pratiquement un squat. ? 1993 : vente de l’ancien presbytère à Michel et Magalie Brat pour en faire un atelier et un magasin d’exposition. ? Mai 2007 : Philippe NOGET, pharmacien à La Gacilly, devient propriétaire de l’ancien presbytère ; il le loue pour en faire un restaurant. Le Gall – Viviers Le manoir de la Motte fut la demeure des familles Le Gall et Viviers pendant la Révolution. Gilles LE GALL, Originaire de Quimperlé, époux de Gilette Magdeleine Blanchard de Malestroit, arrive à La Gacilly comme procureur fiscal du marquisat de la Bourdonnaye et avocat à la Cour. Ils eurent plusieurs enfants : Marie Anne en 1758, Julien, Daniel, Amant Olivier le 26 avril 1763 puis Marie Anne Perrine le 1° avril 1762. Il fut le premier maire de La Gacilly au début de 1790 jusqu’en 1792. Il est alors nommé juge au district de Rochefort (Histoire de La Gacilly p. 236 et 427) puis, en 1795, il est nommé commissaire provisoire du pouvoir exécutif à La Gacilly. Ce vieillard à qui on confiait le pouvoir à 73 ans, n’apporta guère de zèle et d’activité à l’exercice de son mandat ce qui valut aux Gaciliens deux années de tranquillité relative. Mouchardé par les membres du comité de surveillance à cause de sa tiédeur révolutionnaire, il faisait, au département, d’une fiche sévère et sans indulgence : « Patriote sans conduite, préférant le vin à tout le reste ». C’est pourtant à ce moment-là qu’il rédige le rapport sur le citoyen Le Roy, rapport que le citoyen Leblanc adresse au commissaire du département et dans lequel Le Gall prend courageusement la défense de Le Roy injustement accusé par Leblanc et par Charles Florentin Seguin. (Histoire de La Gacilly p. 422). C’est d’ailleurs ce dernier qui prendra la place de commissaire du pouvoir exécutif à La Gacilly au décès de Gilles Le Gall à 75 ans le 10 novembre 1797. (Histoire de La Gacilly p. 427) - 3 novembre 1790 : Gilles Le Gall est le parrain de la deuxième cloche de l’église Saint-Nicolas. - 28 juin 1792 : les dénonciations se multiplient et des arrestations massives de prêtres réfractaires sont opérées ; parmi les dénonciateurs, on trouve Gilles Le Gall (Histoire de La Gacilly p.374) - 16 mars 1793 : Rochefort-en-Terre tombe aux mains des paysans exaspérés de la persécution religieuse : 1.500 assaillants armés d’objets hétéroclites s’emparent du chef-lieu du district sans grande difficulté, les républicains s’étant enfuis devant cette horde déchaînée ; parmi les Bleus en déroute, il y a Gilles Le Gall. (Histoire de La Gacilly p. 380) - 7 Novembre 1794 ( 17 brumaire an III): Marie Anne Le Gall, née le 5 novembre 1758 à La Gacilly, fille de Gilles Le Gall, avocat à la Cour, alloué de la juridiction de la Bourdonnaye, demeurant à Roche-des-Trois, veuve de Noël Le Quéré, épouse, à La Gacilly, Louis Viviers, âgé de 58 ans, négociant. Ils auront un fils, Mathurin René né le 1° décembre 1795 à La Gacilly. Puis ils auront une fille, Marie Louise Désirée, née le 25 août 1797 à La Gacilly qui épousera Armand Mathieu SAULNIER alors percepteur ; malheureusement, elle décédera à la naissance de son fils qui décèdera lui aussi le 28 décembre 1833. - En 1824, le manoir de la Motte était toujours la propriété de Marie Anne Le Gall avec les maisons et les parcelles de terrain qui l’entourent, c’est à dire tout l’espace compris entre la venelle de la Motte et la venelle du Lihoué. Elle vendra le presbytère à la commune le 18 décembre 1828 pour la somme de 5.000f. Elle décèdera à La Gacilly à l’âge de 68 ans le 27 décembre 1830. - De son premier mariage avec Noël Le Quéré, Marie Anne Le Gall avait eu un fils Emmanuel né à Plonéour (Finistère), qui décèdera à La Gacilly le 9 mai 1795 à l’âge de 12 ans, - 1796 : Gilles Le Gall rédige un rapport sur le citoyen Le Roy rapport transmis au commissaire du pouvoir exécutif de Rochefort par Leblanc. Cette affaire n’eut pas de suite, car le citoyen Le Roy avait démissionné de sa fonction d’agent municipal pour continuer l’exercice de la médecine. (Histoire de La Gacilly p. 422) - Le frère de Gilles, Léonce Le Gall, arrivant de Pipriac, deviendra receveur buraliste à La Gacilly en 1880. Il succèdera à Michel Hervy. Il avait épousé Marie Aubrée, la fille de Joseph Aubrée commis à cheval des Contributions Indirectes à La Gacilly. Un de leurs fils, Paul Alfred, décèdera à La Gacilly le 16 janvier 1882 à l’âge de 20 ans et un autre, Léonce Marie, le 26 août 1883 à l’âge de 24 ans. Louis VIVIERS Originaire de la paroisse de Châtre en Dauphiné, fils de Jean Viviers et de Marie Chabrol, il épouse, à La Gacilly, en novembre 1794, Marie Anne Le Gall, veuve de Noël Le Quéré de Plonéour dans le Finistère, fille de Gilles Le Gall, ancien notaire et procureur fiscal du marquisat de la Bourdonnaye et actuellement juge au tribunal révolutionnaire de Roche-des-Trois. Marie Anne Le Gall, veuve de Louis Viviers, vendit le presbytère avec cour et jardins murés à la commune de La Gacilly le 18 décembre 1828 pour la somme de 5.000fr. Avant cette date, comme beaucoup d’autres communes environnantes, la commune n’avait pas de presbytère ; les ecclésiastiques devaient louer des maisons particulières pour se loger. - 1772 : une société d’actionnaires sous la direction de Messieurs Dufilhol de Lorient et Jean Viviers de La Gacilly construit un bâtiment près du pâtis Sainte-Julitte et à l’extrémité de la rue de la Louiserie (rue La Fayette actuelle). Ce bâtiment prend le nom de chamoiserie, car des peaux tannées y sont préparées. Cette fabrique qui emploie d’abord un grand nombre d’ouvriers ne peut se soutenir et succombe par une faillite. Louis Viviers deviendra alors négociant à La Gacilly. (Histoire de La Gacilly p.345) - 10 novembre 1794 : Louis Viviers présente aux membres du conseil municipal une commission par laquelle il est nommé par l’administration de Roche-des-Trois, commissaire pour surveiller les tanneurs de ce canton. (Histoire de La Gacilly p. 406) - 8 juin 1795 : Attaque de La Gacilly par les Chouans. Les Chouans, débouchant du chemin de Bel-Orient ou dévalant les pentes de Graslia, entourent l’église et le cimetière. Pendant qu’un groupe occupe l’ancien presbytère habité par Viviers et descend s’assurer du pont, Jean Grimaud, laboureur, dès le commencement de l’attaque voit « effoncer » la porte de la tannerie Dufilhol et cinq hommes armés tirant sur le citoyen Dufilhol qui se sauvait. Le portail de la cour de Viviers fut forcé, la porte de la maison brisée ainsi que les serrures de ses armoires puis il est fait prisonnier et sera amené tout à l’heure, devant l’état-major des Chouans réuni sur la place. Une première déclaration de lui porte : vol de 18 livres de numéraire, de 60 à 80 livres d’assignat, de 18 chemises à son usage, de 80 paires de bas dont 3 de soie, de 25 mouchoirs de poche et de col, de 2 douzaines de chaussons de fil, de 3 douzaines de serviettes, un chapeau et une culotte de drap noir, tous les meubles forcés ou brisés dans la cuisine ou dans la chambre. Ces bris ont été faits avec une hache de poing prise chez Jean Mabon de cette ville. ». Quelques jours plus tard, il déclare, qu’outre les objets référés en sa déclaration du 20 prairial, il s ‘est aperçu en arrangeant ses hardes, qu’il lui avait été volé un habit noir et deux gilets de coton, qu’il reconnut parmi les auteurs de ces délits Caillet le Jeune de Saint-Jacob. Au champ de foire, lorsqu’ils l’emmenaient, lui Viviers, prisonnier, qu’il entendit chez lui, lors du pillage, Mesnard des Fougerêts, qu’il reconnut également La Feuillade ainsi que Lefèvre que l’on dit de Maure-de-Bretagne et qu’il avait été quelques jours auparavant fait prisonnier à La Gacilly en qualité de Chouan ( affaire de Carentoir), qu’il a entendu nommer leur chef, de Sol. Viviers fut en effet d’abord fait prisonnier, emmené par la rue du Pont et la rue Saint-Vincent jusqu’au marché aux vaches, non sans avoir reçu le long de la route invectives et horions. Il fut ensuite relâché sur l’intervention de Caillet, le capitaine des Fougerêts Source=Histoire de La Gacilly par Jean-Claude Magré Analyse architecturale de la maison Le 13 mai 2006, en présence du propriétaire, nous avons visité la maison avec monsieur Bernard Monnier, architecte en retraite, qui a exercé son activité durant plusieurs années dans le pays de La Gacilly. Voici ses observations et quelques hypothèses: -un remaniement intérieur à la fin du 19e siècle, au vu des techniques utilisées. Elles permettent de dire que les charpentes droite et gauche, le puits du jardin, les aménagements intérieurs tels que portes et fenêtres datent de cette époque. La salle de gauche, en regard de la façade nord, a été réaménagée au 19e siècle ; ce constat correspond aux nombreuses réparations entreprises et attestées par des documents entre 1879 et 1899. -un remaniement extérieur important au 18e siècle ; les façades nord et sud semblent avoir été reconstruites ou agrandies, suite à un tassement probable de la moitié gauche de la maison. L’appariement des pierres permet de visualiser les différences lors de cette reconstruction. Ce qui confirmerait les mentions du livret de 1683, page 21, qui font état de la ruine des murailles et pignons de la dite maison. -La porte de la salle de gauche est du 18e siècle. Les fenêtres sont encadrées de pierres appelées roussards. Celles-ci sont constituées de sables indurés, colorés par des oxydes de fer; elles pourraient avoir été extraites sur les hauteurs de La Grée Saint-Jean ou du coté de Roussimel en Glénac. Quelques pierres d’encadrement des portes sont en granite, ce qui suggère un réaménagement plus tardif. -La présence d’un cadran solaire, daté 1744, pourrait signifier une date de restauration de la maison. A cette époque, les maisons étaient recouvertes d’un enduit à la chaux qui a été enlevé en1993 par Michel Brat qui confirme l’absence d’enduit en dessous du cadran solaire lors de son enlèvement du mur. On peut supposer que le cadran a été mis en place au moment de la pose de cet enduit (finition d’une restauration). -Il n’y a aucune trace d’une construction antérieure au début 18e siècle. Cependant le livret de 71 pages indique que le 5 août 1677, la maison a été visitée et son état était comparable à celui trouvé en 1683.De tout ceci, les hypothèses plausibles sont les suivantes: Pour Bernard Monnier, la maison est construite sur d’anciennes carrières de schiste qui auraient pu servir à la construction du château et à la première église Saint-Nicolas qui sera agrandie d’une chapelle au sud en 1626 et d’une autre au nord en 1628. -Le pignon ouest de la maison est adossé à la butte en schiste et subit la pression de la masse de terre du jardin occidental ainsi que celle des eaux de pluie drainées par la butte; ces pressions très importantes sont visibles côté rue. Elles peuvent être partiellement à l’origine de la «ruine» de la maison d’où la nécessité d’une restauration. Quelques autres éléments complémentaires peuvent être apportés: -Les trous à boulin ne sont pas caractéristiques d’une époque ancienne. -La maçonnerie de la partie ouest de la façade sud est mieux appareillée que celle de la partie est qui s’est tassée. -Les poutres des planchers disposées à plat et l’espacement inégal marquent le 19e siècle. Les arcs de décharge, en roussards, de la façade sud, semblent insuffisants pour leur fonction. -Les dimensions de la maison, 46 pieds dans le livret, correspondent aux dimensions actuelles soient environ 15 mètres. -Les linteaux et les jambages des portes de façade sont, soit en granite (porte de droite), soit en roussards et deux pierres blanches en granite (porte de gauche). En résumé, la partie ouest de la maison daterait d’avant 1677. La demeure aurait été fortement remaniée avec reconstruction des murs au 18e siècle, le cadran solaire signant la date de cette reconstruction. Source= Bernard Monnier, architecte en retraite, Voici ses observations et quelques hypothèses