Symboles utilisés
o : naissance,
x : mariage (x : 1er mariage, xx : 2ème mariage... , + : décès, ca : environ, ? : date évaluée
exemple : (oca1584) signifie "
naissance en 1584 environ"

Mathurine Charlotte
CHANOIS
15 08 1733
1733
PLOËRMEL (56)
CLAVIER :: Mathurin Joseph (x1752)
 - Louise (o?)

Le pont en pierres de cinq arches dont une principale que fit construire Olivier de Montauban vers 1320, à l’emplacement du vieux pont romain en bois, coupait obliquement le lit de l’Aff en partant de la pointe Sud de la cour du moulin (Musée Yves Rocher actuel) pour rejoindre l’extrémité Nord du terre-plein de l’ancienne gendarmerie (Office de tourisme actuel) réunissant ainsi directement le moulin à grains à la rue La Fayette. A la sortie de ce pont, sur la gauche, existait donc un emplacement assez vaste appelé le Pâtis Ste-Julitte sur lequel il y avait une fontaine et une maison d’habitation et où se tenait une des foires gaciliennes. C’est dans cette maison que, vers 1750, vinrent habiter Mathurin Clavier et son épouse. Dans cette maison naquirent, outre Louise,: o Marguerite Jeanne CLAVIER 1752- dont la marraine fut Demoiselle Marguerite Clavier de Ploërmel, la soeur du père o Mathurin François CLAVIER 1755- dont la marraine fut Delle Françoise Chanois de Ploêrmel, sœur de la maman o Jeanne Perrine CLAVIER 1757- o François CLAVIER ca 1758-1761 o Yves François CLAVIER 1758- • Louise Mathurine Jeanne CLAVIER 1761- o Angélique Mathurine Charlotte CLAVIER 1762- ? Thérèse Françoise CLAVIER 1763- o Mathurin Pascal CLAVIER 1765- ? Charles Louis CLAVIER 1766- o Jeanne Marie Françoise CLAVIER 1768- o Jean Baptiste CLAVIER Julienne CLAVIER 1769 Par la suite, sans doute en 1772, cette maison fut agrandie par une société d’actionnaires sous la direction de Messieurs Duffillol et Viviers pour devenir une chamoiserie ; elle était alimentée en eau par un coursier dont la largeur sera portée à un mètre en 1856, Louis Poligné étant propriétaire de cette entreprise devenue un moulin à céréales. En 1868, lors de la construction du pont actuel, l’orientation de celui-ci fut changée et le Pâtis Ste-Julitte fut coupé en deux par la route de Redon à Dinan et la chamoiserie fut alors démolie. Le 27-1-1756, Mathurine Chanois est témoin au mariage Mény-Soulaine Le 10-2-1758, elle est marraine de Mathurine Bernard