Chohannière (La)
GLÉNAC
56200
Morbihan
56

En 1448, L’hostel de la Chohenniere (la Chohannière) noble et antien appartenant aux enfens de feu Jehan Pilet de Guer, et y est météer un nommé Tastard. En 1536, à la réformation appartient à François du Bochet. Le 22/10/1635, Louis de Plumaugat sieur de la Chauvinière. Le 4/12/1639, Louis de Plumaugat x Perrine de Carrion, sieur et dame de la Chauvinière. Le 16 janvier 1640, baptême de Françoise de Plumaugat née en 1639, fille d'écuyer Louis de Plumaugat et de demoiselle Perrine de Carrion, sieur det dame de la Chauvinière. Le 22/05/1645, le 15/07/1646, le 30/11/1647, le 20/10/1648, le 3/08/1649, le 27/10/1654, Louis de Plumaugat x Perrine de Carrion, sieur et dame de la Chauvinière. le 28 janvier 1664, Perrine de Carrion dame de la Chauvinière est marraine de Pierre Boudet, fils de Michel Boudet et de Françoise de Plumaugat sa fille. Le 6/07/1673, Bonne Belavoir demeure à la Chohanière. Le 4/03/1705, René Rado acheta la Chohannière en Glénac à Gilles Després, sgr de Villeray et le fief de l’Estun à Jean-François Gouro sgr de Pommery le 29/03/1704. Son fils Jean Baptiste Mathurin né le 26/10/1682, chevalier de la Villejanvier, et seigneur du Brossay et de la Chohannière en Glénac, seigneur de Cournon, la Villejanvier, le Tertre, la Vallée, le Bois de Cournon, etc ... , épousa, le 7 janvier 1711, Jeanne Anne Marion, dame de Port de Roche, de la paroisse de Glénac, fille de Mathurin Marion, sieur de la Sente, et de Catherine Le Mordant. Il meurt le 14/08/1752 à Cournon à la Villejanvier. 19 janvier 1769, mariage entre Messire Jean-Joseph Rado, Chevalier, seigneur de la Chohanière, veuf de dame Marie de l’Hôpital de la paroisse de Glénac, et demoiselle Marie-Jeanne Guillard fille de Feu Messire Louis-Mathurin, Chevalier, Seigneur des Aulnays. Vers 1789, la Chouanière était habitée par la famille Rado composée du père, de la mère, de deux garçons et de trois filles dont la dernière veuve d'un Mr La Picliere et qui avait deux enfabts, épousa en deuxième noce Mr Gentil, juge de paix à Redon.