Seigneurie
Gaudinaye (La)
GLÉNAC
56200
Morbihan
56

Alain Jumel avait épousé Marie de Rezac de la maison de la Gaudinais en Glénac. Il mourut le 18 novembre 1435.En 1448, à la réformation, appartient à Regnault de la Salle, qui a un nommé Guyon de Peaune, père de sa femme et y est météer Guillaume Loueat En 1530, appartient à Gallehaut de Ressac. En 1536, à la reformation, appartient à Gallehaut de Ressac. Le 27/12/1551, baptême de Vincente fille de noble écuyer Gallehaut de Reczac, sgr de la Grignonnaye (Gaudinays) et de Françoise Co..eac (non maries).. Le parrain est N. écuyer Vincent de Maigné, sr de la Jouardays. Marraines 2 femmes de basse condition (fiche Freslon 232, les Fougerêts) Le 19/08/1597, est citée dame Janne de la Motte, dame de la Gaudinays. Le 7/10/1600 et 3/11/1600, est citée damoyselle Jeanne Le Tenours, dame de la Gaudinays x 25 novembre 1590 à Michel de Forges. Le 17/07/1596, à ce baptême, est citée dame Françoise Fillastre, dame de la Gaudinais. Le 24/08/1634, mariage de Gilles de Forges (fils de Guillaume et Perronnelle Gouro) et Marie Rogon de Kermartin, sgr et dame de la Gaudinays De 1635 à 1638, plusieurs actes où l’on retrouve Gilles de Forges et marie Rogon, sieur et dame de la Gaudinays. Le 18/05/1641, Louis de Plumaugat x Perrine de Carrion, sieur et dame de la Gaudinais. Le 25/10/1645, Louis Guillaume de Forges, fils d’écuyer Guillaume de Forges, sieur de la Gaudinais. Le 2/07/1662, écuyer Guillaume de Forges, sieur de la gaudinaye. Le 29/09/1692, dame Guillonne du Maz, dame de la Gaudinays. Le 24/01/1695, dame Gillonne du Maz, dame de la Gaudinays. Le 2/01/1714, baptême de Angélique, fille de Louis René de Forges et Gilllette de la landelle, sgr et dame de la Gaudinaye. Vers 1730-1750, Charles-François de Forges marié à Anne-marguerite du Bot est sgr de la Gaudinais. Vers 1760-1780, Louise-marie de Forges (1747-1825) mariée le 27 mars 1764 à Louis-Armand René de Quelo, sont sgr et dame de la Gaudinais. Vers 1789, M.Louis-Armand-Henry de Quelo,demeurant à la Gaudinaye, fût fait prisonnier au Préclos en Tréal. “La famille de Quelo qui habitait la Gaudinaye, était composée du père Louis Armand André, de la mère Louise-Marie, d’un garçon Vincent François (né vers 1766) et de trois filles dont les deux ainées Marie-Henriette (1765-1828) et Marguerite, épousèrent les deux frères BOUDET, colons de ST-DOMINGUE dont l’un, Guillaume, prit le nom de BOUDET de CADOUZAN parce qu’il acheta cette terre de la famille de sa femme Marguerite, et l’autre BOUDET de la NOE-CADO, qu’il habita jusqu’à sa mort après l’avoir achetée. Enfin la troisième fille paralysés depuis 18 ans est morte à la Gaudinaye à 75 ans la dernière de cette famille éteinte. Au bourg de Glénac, il y avait 2 soeurs de Mr de Quelo de la Gaudinays, qu’on nommait l’une Mademoiselle de Cadouzan, l’autre Mademoiselle de Villelouet.“ (souvenirs d’Armand de Gouyon) Vers 1780-1790, Vincent-François de Quelo x Marie-Louise Rosalie de Biré est dit sgr des Chambots et de la gaudinaye. Vincent est officier dans l’armée de Condé et émigre. Vers 1793, Joseph-Marie Seguin de La Gacilly achète des biens nationaux, il fut même parmi les premiers acquéreurs. • 5 avril 1793, notre juge de paix continue à acheter des biens nationaux puisque d’après le registre de l’enregistrement et des domaines, il acquiert des meubles à la vente de la Gaudinais en Glénac pour la somme de 18 livres et 3 sols. • 18 mai 1793, il continue à acheter des meubles à la Gaudinais conjointement avec un nommé Ricaud pour la somme de 80 livres et 8 sols appartenant au sire de Quélo, émigré. Le même jour, toujours avec le dénommé Ricaud, il acquiert, pour la somme de 110 livres et 16 sols, des meubles lors de la vente de la Forêt-Neuve appartenant au sire de Rieux, émigré. Vers 1795-1799, la Gaudinays est sans doute vendu comme bien national. Mais est racheté par Vincent avant sa mort le 29/12/1822. En 1824, la Gaudinais apparaît sur les matrices cadastrales comme propriété des enfants de Louis de Quelo. (dont dlle Elisabeth de Quelo). L’année de la mutation pour la maison est 1841. Pour les autres biens les années de mutation sont 1831, 1832 et 1841. Vers 18...., Augustin-Louis Joseph ? de Pioger s’en rend acquéreur ? la chapelle de la Gaudinais (ca 1480-1550)